À La Brillanne, nichée entre pins et murs d’argile, une orangerie abyssale de 575 m² s’est dressée pour célébrer un mariage à l’atmosphère rare. La structure, tendue avec précision sur une terrasse minérale, accueillait les invités sous sa toile claire, dans un décor où tout semblait couler de source.
À l’intérieur, des arbres montaient jusqu’au faîtage, baignés par des projections lumineuses qui faisaient vibrer la toile comme un ciel vivant. Les tables étaient dressées avec soin, les conversations prenaient leur temps, et les regards se levaient souvent vers cette hauteur végétale et textile.
À l’extérieur, l’espace se prolongeait en salons de bambou posés à même le sol, entre la lavande, les cyprès et les bouquets colorés. Des bars rustiques de grande envergure rythmaient les temps forts de la soirée, pendant que les torches nomades marquaient les passages et dessinaient les contours de la fête.
Rien de superflu, rien de forcé juste une scénographie pensée pour accompagner le moment, et disparaître doucement derrière l’intensité du vécu.
À La Brillanne, nichée entre pins et murs d’argile, une orangerie abyssale de 575 m² s’est dressée pour célébrer un mariage à l’atmosphère rare. La structure, tendue avec précision sur une terrasse minérale, accueillait les invités sous sa toile claire, dans un décor où tout semblait couler de source.
À l’intérieur, des arbres montaient jusqu’au faîtage, baignés par des projections lumineuses qui faisaient vibrer la toile comme un ciel vivant. Les tables étaient dressées avec soin, les conversations prenaient leur temps, et les regards se levaient souvent vers cette hauteur végétale et textile.
À l’extérieur, l’espace se prolongeait en salons de bambou posés à même le sol, entre la lavande, les cyprès et les bouquets colorés. Des bars rustiques de grande envergure rythmaient les temps forts de la soirée, pendant que les torches nomades marquaient les passages et dessinaient les contours de la fête.
Rien de superflu, rien de forcé juste une scénographie pensée pour accompagner le moment, et disparaître doucement derrière l’intensité du vécu.