Chaque mariage est une œuvre à part. Ici, dans les jardins d’une bâtisse que nous connaissons par cœur, la scénographie s’est construite dans la douceur et la précision.

Des guirlandes guinguette ont dessiné un plafond de lumière, reliant les arbres centenaires à la façade du château. Dessous, les tables se sont parées de nappes sobres, prêtes à accueillir les instants forts d’une soirée intime. Les assises, choisies avec soin, répondaient à une volonté d’harmonie et de confort discret.

Au centre de la scène, une piste de danse de 22 m² attendait le premier pas, le premier regard, le début de la nuit.

Tout autour, rien n’était laissé au hasard. Pas de surcharge, pas de décor imposé seulement l’évidence d’un lieu magnifié, pensé pour faire disparaître la technique au profit de l’émotion.

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Installée au centre du dispositif, la piste de danse de 22 m² n’était pas un simple élément technique : elle incarnait le point de bascule entre dîner et fête. Positionnée avec précision, elle offrait un espace dégagé et chaleureux, pensé pour déclencher le mouvement dès les premières notes.

Ni trop grande, ni trop visible, elle s’intégrait parfaitement à la scénographie globale. Son emplacement stratégique favorisait la circulation des invités, tout en créant un véritable point de convergence au moment clé de la soirée.