Urbasolar

Îles des Embiez

12.07.2025

Crédit photos : Greg Alric

Entre rocher et mer

Aux Embiez, rien n’est donné. Le vent coupe, la pierre râpe, la mer guette.
Et c’est précisément là, sur ce fragment de terre sauvage, que l’on a tendu l’ombre et la lumière.

Une orangerie abyssale de 575 m², posée sur un plancher de 900 m² ancré dans les courbes du sol, a dressé ses mâts face à la Méditerranée.
À ses côtés, une seconde orangerie de 60 m² en guise d’office traiteur, discrète mais indispensable, pour accueillir les gestes invisibles du service.

L’ambiance ? Pensée dans les moindres détails : coin salon en bambou pour respirer, mange-debout teck pour échanger, et une pluie de guirlandes guinguette pour allumer la nuit.

Un événement d’entreprise, oui. Mais ici, sur cette île battue par le sel et la lune, c’était presque une cérémonie.
Quelque chose d’éphémère, de solide, et d’inoubliable.

Aux Embiez, rien n’est donné. Le vent coupe, la pierre râpe, la mer guette.
Et c’est précisément là, sur ce fragment de terre sauvage, que l’on a tendu l’ombre et la lumière.

Une orangerie abyssale de 575 m², posée sur un plancher de 900 m² ancré dans les courbes du sol, a dressé ses mâts face à la Méditerranée.
À ses côtés, une seconde orangerie de 60 m² en guise d’office traiteur, discrète mais indispensable, pour accueillir les gestes invisibles du service.

L’ambiance ? Pensée dans les moindres détails : coin salon en bambou pour respirer, mange-debout teck pour échanger, et une pluie de guirlandes guinguette pour allumer la nuit.

Un événement d’entreprise, oui. Mais ici, sur cette île battue par le sel et la lune, c’était presque une cérémonie.
Quelque chose d’éphémère, de solide, et d’inoubliable.

Matériel installé

Ce n’est pas seulement la décoration qui a compté, mais surtout le mobilier, qui a donné du souffle à l’espace. La location a apporté une structure élégante, tandis que les assises et les lieux d’échange ont créé la véritable expérience. Les chaises, sobres et confortables, accueillaient chaque pause comme une évidence. Les mange-debout teck, eux, devenaient des haltes naturelles, propices aux échanges spontanés et aux regards qui se croisent. Entre praticité et esthétisme, chaque pièce trouvait sa place, comme si l’île elle-même les avait convoquées pour prolonger la beauté du moment.