Sur les plages du Prado, le Delta Festival fait chaque année vibrer Marseille. Plus qu’un simple événement musical, c’est un monde parallèle qui s’installe face à la mer, brassant des milliers de festivaliers venus célébrer la musique, l’engagement, et l’esprit collectif.
Dans ce décor mouvant, des tentes nomades de toutes tailles ont été déployées, formant un village éphémère aussi fluide qu’organisé. Certaines abritaient des espaces de rencontre, d’autres accueillaient débats, performances, ateliers, ou simples zones de repos à l’ombre. Partout, l’ambiance était libre, joyeuse, maîtrisée.
Les coins salons, implantés au cœur des zones VIP, apportaient un contraste subtil à l’énergie du festival : assises basses, matières naturelles, circulation ouverte.
Un souffle d’hospitalité dans l’agitation ambiante.
Au milieu de cette effervescence, les structures ont rempli leur rôle d’écrin : discrètes mais présentes, souples mais solides. Une mise en scène légère pour accueillir tout un monde.
Sur les plages du Prado, le Delta Festival fait chaque année vibrer Marseille. Plus qu’un simple événement musical, c’est un monde parallèle qui s’installe face à la mer, brassant des milliers de festivaliers venus célébrer la musique, l’engagement, et l’esprit collectif.
Dans ce décor mouvant, des tentes nomades de toutes tailles ont été déployées, formant un village éphémère aussi fluide qu’organisé. Certaines abritaient des espaces de rencontre, d’autres accueillaient débats, performances, ateliers, ou simples zones de repos à l’ombre. Partout, l’ambiance était libre, joyeuse, maîtrisée.
Les coins salons, implantés au cœur des zones VIP, apportaient un contraste subtil à l’énergie du festival : assises basses, matières naturelles, circulation ouverte.
Un souffle d’hospitalité dans l’agitation ambiante.
Au milieu de cette effervescence, les structures ont rempli leur rôle d’écrin : discrètes mais présentes, souples mais solides. Une mise en scène légère pour accueillir tout un monde.