Sous le soleil de Bordeaux, entre les rangs millimétrés de vignes centenaires, un château s’est mué en théâtre éphémère. La Tour de Mons n’accueillait pas cette fois de vendange, mais un séminaire hors normes, vaste et vivant, orchestré sur des hectares de silence.

L’arrivée se fait par une première orangerie de 130 m², dressée sur un plancher de 150 m². À peine entré, un passage s’ouvre et conduit vers le cœur de l’événement : une orangerie monumentale de 1 016 m², elle-même posée sur 1 250 m² de plancher. À ses côtés, une orangerie plus modeste de 60 m² fait la liaison vers la zone sanitaire. Là, quatre caravanes haut de gamme attendent les invités, avec un espace boudoir de 100 m² aménagé comme un petit salon confidentiel.

Pour relier l’espace traiteur, une autre orangerie de 220 m² prend le relais, accompagnée de 300 m² de plancher, comme une coulisse discrète au service du spectacle.

Partout, le mobilier tisse une ambiance souple et naturelle. Les fauteuils en bambou se mêlent aux salons Florence, les mange-debout Victor veillent, discrets et solides, sur les discussions impromptues.

Un vignoble, des toiles blanches, du bois clair sous les pieds, et le murmure d’un événement rare, aussi structuré qu’inspiré.

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